- spardeck
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spardeck [ spardɛk ] n. m. ♦ Mar. Pont supérieur qui s'étend sans interruption de l'avant à l'arrière (sans dunette ni gaillard).
● spardeck nom masculin (mot anglais, de spar, poutre, et deck, pont) Pont léger sur montants, qui s'étend sans interruption de l'avant jusqu'à l'arrière, sans dunette ni gaillards.⇒SPARDECK, subst. masc.MAR. ,,Pont d'un bateau, qui s'étend sans interruption de l'avant à l'arrière, sans dunette ni gaillard`` (GRUSS 1978). Les passagers étaient assez nombreux à bord [du steamer]. Quelques-uns restèrent sur le spardeck à contempler le panorama pittoresque de la ville (VERNE, Tour monde, 1873, p. 27).— En partic. ,,Pont en tôles relativement légères établi au-dessus du pont pour compartimenter horizontalement l'entrepont`` (LE CLÈRE 1960). Quelquefois, au lieu d'établir de simples passavants [sur les navires de guerre], on relie la partie supérieure des pavois par un pont abri d'une construction très légère, ce pont abri prend le nom de spardeck (CRONEAU, Constr. nav. guerre, t. 1, 1892, p. 6).Prononc. et Orth.:[
]. CATACH-GOLF. Orth. Lexicogr. 1971, p. 303: -dek. Étymol. et Hist. 1792 spar deck (Ch. ROMME, Dict. de la marine fr., 502 ds HÖFLER Anglic.); 1873 spardeck (VERNE, op. cit., p. 23). Empr. à l'angl. spardeck, comp. de spar « perche, barre, chevron » et deck « pont », att. dep. le XVIe s. (NED).spardeck [spaʀdɛk] n. m.❖♦ Mar. Pont supérieur qui s'étend sans interruption de l'avant à l'arrière (sans dunette ni gaillard). — Pont léger qui recouvre les cabines et salons du pont supérieur, sur un paquebot.1 Le pont supérieur de l'Yseult, le spardeck, — qui régnait du mât avant au mât arrière, et faisait terrasse au-dessus des appartements de réception (…)Claude Farrère, la Bataille, XVII.2 Le mercredi 9 octobre, on attendait pour onze heures du matin, à Suez, le paquebot Mongolia, de la Compagnie péninsulaire et orientale, steamer en fer à hélice et à spardeck, jaugeant deux mille huit cents tonnes.J. Verne, le Tour du monde en 80 jours, p. 35 (1873).
Encyclopédie Universelle. 2012.
